Chaque jour, je meurs
Dans la mêlée des rêves, le nuit souffle ton nom.
Dans l’hiver, l’été s’est consumé
Les chemins de l’hiver dévalent la pente des jours
Une nuit j’avais rêvé
Une nuit, je t’avais rêvé marchant dans la prairie
Pour toi
Pour toi, je traverserais terre et mer,
J’escaladerais les passerelles du ciel.